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June 13, 2012
“Diana Axentii surpassait les espérances en la matière : sa voix dense et épanouie avait la fermeté de ligne et l’inspiration de verbe pour accomplir très-dignement les grandes interventions de son personnage. De surcroît, l’actrice combine très à propos une aisance scénique capitale pour soutenir le spectacle et une
forme de pudeur, de gaucherie gracieuse qui sied parfaitement à ce personnage de jeune débutante confrontée à la fausseté de ses rêves.
Samuel Barber, Vanessa & son expérience scénique
December 23, 2011
“La pièce est portée à bout de bras par une remarquable Diana Axentii, qui ne recule devant aucune audace pour satisfaire le rôle éminemment comique de la Princesse qui s’amourache du premier venu. La mezzo-soprano moldave est réjouissante de bout en bout avec sa diction parfaite et sa qualité de chant irrésistible.”
‘La Botte Secrète’, de Claude Terrasse, l’Athénée – Théâtre Louis-Jouvet à Paris.
May 11, 2008
“On remerciera la mezzo-soprano Diana Axentii (Anna) pour s’être emparée sans faillir, partition en mains, du rôle d’Elisabetta après s’être substituée à Marianna Pizzolato.”
Maria Stuarda, Opéra Royal de Wallonie
September 24, 2007
“Quant à Diana Axentii, elle sert une Sélysette tant colorée et sonore qu’émouvante.”
Ariane et Barbe-Bleue,Paul Dukas ,Opéra national de Paris
September 13, 2007
“Jaël Azzaretti, Iwona Sobotka, et surtout Diana Axentii et Hélène Guilmette se taillant une juste part de succès dans cette soirée, vrais moments de bonheur : la qualité vocale de ces artistes, la diction impeccable, leur naturel scénique, tout est à saluer ici.”
May 11, 2004
“Timbre rond, pur et charnel, grande maîtrise de la voix et de la scène : une artiste complète qui sait transcender la technique pour convier l’auditeur dans l’émotion. Magnétique!”
April 15, 2004
“Diana Axentii (1979, Moldavie). Voilà la voix qu’on attendait : celle qui a passé tous les écueils de la technique, dans la conduite vocale ou dans l’aisance scénique, et qui peut à satiété jouer de ce bagage pour investir l’émotion. Car, que l’émotion manque dans ce concours ! Et Axentii de nous régaler de la rondeur de son timbre, de ses nuances illimitées qui, même dans le pianissimo, ne détimbrent pas. Au point de se fondre et d’amplifier les vibrations des cordes du piano dans l’imposé de Mernier. Son Schedrin, comme son Rimski-Korsakov de la première éliminatoire, quasi a capella, lui donne encore l’occasion de frôler l’improvisation tant son chant chargé d’harmoniques est libre, sans jamais être enivré de lui-même. Cette mezzo est juste en permanence et revisite – est-ce possible ! – le répertoire fané de Massenet, avec une fraîcheur, une qualité de phrasé qui n’ont d’égale que la propreté de sa diction. Artiste complète, exceptionnellement mature, elle n’en reste pas moins faite de chair et perd quelque peu de cette concentration miraculeuse en seconde partie.”
Concours Reine Elisabeth – Deux Belges parmi les douze finalistes Diana Axentii, l’enfance de l’art PRATIQUE La finale du 12 au 15 avril
January 30, 2004
“Diana Axentii possède un timbre d’une grande richesse, fort coloré, doté d’une tessiture homogène. Sa voix est sonore, naturellement expressive, et arbore des moyens flatteurs”
“À cela s’ajoute la pertinence interprétative d’une vraie personnalité musicale. Tour à tour espiègle, sentimentale, mélancolique, joueuse, rageuse, tragique, elle s’engage à cent pour cent dans chaque vers, chaque mélodie, avec une générosité qui implique la salle.”
Chroniques, Salle Molière, Lyon
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